«On a un grand risque de représailles russes si on utilise les avoirs gelés»
Arrivé il y a trois ans à la tête du Mécanisme européen de stabilité (MES), Pierre Gramegna met en garde contre les risques liés à l’utilisation des avoirs russes gelés pour financer l’aide à l’Ukraine, mais se déclare prêt à mettre en oeuvre les outils du MES pour financer l’effort de défense.


